mercredi 5 octobre 2011

Septembre, un mois à oublier

La rentrée avait bien commencé, avec une bonne première session et un peu de chatte. Le reste du mois aura en revanche été un chemin de croix. Setups à la pelle, 7-8 caves d’EV dans les dents et une impression très désagréable de ne plus savoir comment gagner à ce jeu. Ajoutez à cela des tables assez peu attractives et on obtient un mois de septembre bien moisi. Sur les trois dernières années, je crois que ce n’est que mon deuxième mois négatif. En espérant repartir sereinement vers le haut en octobre.



Après, ce bad run n’a pas que du mauvais. Je n’ai quasiment plus joué depuis 15 jours. Comme je vous le disais, l’envie n’est plus vraiment là. Il fallait donc que je trouve un autre moyen de m’occuper. Et tant qu’à avoir un compte sur Bwin, je me suis dit qu’il était temps de découvrir un peu le monde des paris en ligne. Ayant été journaliste sportif, ce n’était pas forcément une mauvaise idée de tenter ma chance. J’ai évidemment un peu tatonné au début, mais quand on se penche sur les différents types de paris (simples, combinés, systèmes), on se rend compte que le parallèle avec le poker n’est finalement pas aberrant. Les cotes, la variance (que l’on peut limiter en utilisant les différents types de paris) et une part de chance non négligeable sont quelques uns des paramètres qu’on retrouve dans le poker.

Mes paris tournent essentiellement autour du foot et du tennis, même si le rugby ou le volley sont très intéressants si on parie judicieusement. Rien que ce soir, le championnant de France de volley m’a rapporté 200 euros grâce à trois matches au cours desquels les favoris étaient clairement désignés. Une hiérarchie aussi nette est beaucoup plus rare dans d’autres sports. Voilà pourquoi il faut saisir les opportunités offertes par des sports « mineurs » pour réaliser quelques gros coups.

Je ne vais pas rentrer dans les détails, ce serait beaucoup trop long. Mais disons que les paris en ligne ont presque compensé mes pertes au poker du mois de septembre. Et j’avoue que j’ai pris goût à cette activité. Je vais donc continuer, histoire de voir où tout ça me mène. En plus, il paraît que l’expérience est l’atout numéro 1 des bons parieurs. Pourquoi s’arrêter maintenant ? J


PS : j'ai failli oublier. La variance se fout ouvertement de ma gueule. Regardez comment elle essaye de m'amadouer !



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